lundi 25 août 2008

Quelque part dans le temps...


Quelque part, je l’ai cherché
Quelque part, je l’ai trouvé
Malheureusement, je m’y suis attaché
Et je ne puis le retourner

Quelque part, je l’ai laissé
Quelque part, je l’ai abandonné
Malheureusement, j’y étais trop attaché
Et je n’arrive à l’oublier

Quelque part, il m’attendait
Quelque part, il me souriait
Malheureusement, il s’est détaché
Et je ne puis que pleurer

Quelque part dans le temps
Je croyais l’aimer suffisamment
Quelque part dans le temps
J’aimerais y retourner seulement un instant
Quelque part dans le temps
Exactement à ce moment
Quelque part dans le temps
Changer mes sentiments
Quelque part dans le temps
Recommencer ce doux printemps…

Trop Longtemps...


Trop longtemps, tu as laissé le vent t’emporter
Trop longtemps, tu t’es laissé aller
Trop longtemps, tu nous as négligés
Et maintenant, tu te sens délaissé
J’ai essayé de croire en nous
Je l’aurais voulu plus que tout
Mais tu m’as laissé, seule, m’accomplir
Tu m’as laissé, seule, m’épanouir
Alors que moi je t’attendais
Toujours seule, je me demandais
Si un jour tu comprendrais
Si un jour tu changerais
Et qu’enfin tu me suivrais
Et qu’ensemble, on grandirait
Mais sans savoir tu as répondu à mes questions
Sans le savoir tu y a répondu non
Et maintenant tu pleurs mon retour
Maintenant tu meurs d’amour
As-tu au moins pensé à moi?
As-tu pensé à toutes ces heures perdues?
As-tu pensé aux coups que je me suis infligé pour toi?
As-tu pensé à la douleur et aux tristesses que j’ai vécues?
Il y a maintenant trop longtemps
Il y a eu trop longtemps maintenant
J’en ai assez
Il est temps pour nous de se quitter
Se dire adieu
Oublié que l’on s’est aimé
Et vivre enfin heureux

vendredi 22 août 2008

Le Combat


Je ne cesse de t’attendre
Seule dans la pénombre de ma chambre
J’aspire le moment de ta défaite
Cette défaite qui pourtant n’est pas prête
Ce moment où tu ne me résisteras plus
Là où tu me diras qu’enfin je t’ai vaincu
Là où tu te donneras sans relâche
Te détachant de tes tâches…

Isz

Est-ce ça l'amour?


Est-ce ça l’amour?
Ce sentiment qui paraît parfois trop lourd
Cette fragilité amère de notre innocence
Ce fruit de la connaissance

Cupidon lança une flèche dans son cœur
Et l’autre lui lança une pierre par pudeur
Enrôlé de l’un
Trahison hors du commun
Qui d’eux avait tord?
Qui d’eux eu des remords?

Est-ce ça l’amour?
Mourir peu à peu, de jour en jour
Laissant Cupidon nous piquer
Piqué de chaleur pour être ensuite lapidé

Est-ce ça l’amour?
Nous laissant sans aucun recours
Accouplement vulnérable de nos faiblesses
Correction marginale de notre sagesse…
Isz

Confondue...


J’ai pris les rêves
J’ai goutté la réalité
J’en ai fait ma grève
Je m’en suis épuisée

Cœur alourdi
Jour de pluie
Sombre nuit
Triste vie
Cœur pataugeur
Jour embaumeur…

Isz

Condamné


Je déteste tes absences répétées
Je déteste quand tu as l’air occupé
Je déteste tes confidences
Je déteste ton indifférence
Je te déteste, je te déteste
Je voudrais te fuir comme la peste
Je te déteste, je te hais
Je voudrais te fuir à jamais
Je te déteste pour tout ce que tu es
Je déteste mes plaies
Je te déteste à trop t’aimer
Je déteste devoir te détester
Mais, en moi, douleur est née
Et plus jamais je ne saurai t’aimer
Car tu t’es montré absent
Trop pris par le temps
Tu m’as dévoilé tes sentiments
Et aux miens, tu t’es montré indifférent
Je t’ai vraiment aimé, vraiment
J’aurais voulu être tienne à tout moment
Je t’ai adoré, condamné…
Isz

Bella


Simplement la regarder
Simplement l’adorer
Sans même la toucher
Juste le moment d’une nuit, l’aimer
Juste le moment d’une danse
Juste une fois, vivre cette romance
Mais elle est trop belle pour être regardée
Trop parfaite pour être adorée
Trop douce pour être touchée
Le moment d’une vie, mourir d’ennui
Le moment d’une danse, seule avec ma malchance
Juste une fois, toute une vie
Savoir son nom et le murmurer
Avoir son corps et le savourer


Isz

samedi 9 août 2008

Rêves d'Enfants


Cette passion que je croyais à jamais perdue
Perdue d’heures en heures, en siècles confondus
Cette même tranquillité d’esprit
Celle qui naît sans jugement ni mépris
L’intensité des mots
Se bousculant autrefois, à nos berceaux
Tout ce dont un enfant peut rêver
Mais qu’aucun cœur n’arrive à oublier
Ces rêves de chevaliers
Cette romance de cape et d’épée
Ces sentiments inavoués
Ce bonheur insensé
À chacun, nos rêves d’enfant
À chacun, nos petits instants
Ces moments de lumière et de chaleur
Ces moments qui se passent seulement dans nos cœurs…
Isz

lundi 4 août 2008

La Fleur

L’impression d’avoir un mal de mer
L’illusion d’un mal à l’envers
Une histoire de déjà-vu
Ces histoires tristes qui tuent
Un symptôme de mal empoisonné
Une phobie d’être emprisonné
Cette pluie d’été qui brûle ma peau
Cette chaîne à laquelle sont attachés mes fardeaux
La petite fleur qui grandit dans l’air
Bientôt se réveillera d’une cloche de verre
Sentira ses pétales se détacher
Lentement, très lentement s’assécher et se décolorer

Isz

Changer de Vie


Pourquoi voudrai-je continuer?
Pourquoi poursuivre ma destiné?
Pourtant elle a l’air tellement bien dessinée
Mais je vois bien que le destin n’est pas de mon coté

La vie m’a battue, elle m’a piétinée
Maintenant, par terre, j’avance durement dans le gravier
J’ai perdu, elle m’a gagnée
Maintenant, je n’ai qu’à suivre et attendre que l’on vienne me chercher

Chaque fois, c’est la même chose
Il y en a toujours un qui s’impose
Et avant même que j’ose
Le voilà qui repart avec ses roses

La vie se joue de moi
La vie ne m’aime pas
Pourtant, je ne lui ai rien fait
Elle me tue peu à peu et cela lui plaît

Je pleurs ma douleur,
Je pleurs ma vie
Je pleurs ma peur
Je me meurs d’ennuis

Je veux seulement être aimée
Juste une seule fois, sentir l’amour me guidée
Sentir le vent m’emporter
Sentir la vie sous mes pieds
Je pleurs ma déception
Je pleurs cette vie sans raison
Je pleurs des larmes trop amères
Ma vie s’envole en poussière
J’échangerais à qui voudra toute ma vie sans importance
Contre une seule minute d’existence
J’aimerais qu’enfin une fois
Juste pour cette fois
Qu’on me prenne dans ses bras
Me murmurant « Je t’aime » tout bas
Enfin, me sentir vivante
Et quitté cet enfer qui me hante
Goutter à l’amour
Le vivre à tous les jours
Rien qu’une petite minute
Pour être capable de gagner cette lutte
Rien qu’une petite heure
Pour donner une raison à mes pleurs
Une seule journée, une seule année
Pour enfin m’entendre dire…. Je me sens aimée
Isz

L'autre Humanité


La pierre est à mes pieds
Elle est à ta tête…
Tu regardes le ciel
Le ciel m’embête
Tu es, de beaux habits, vêtu
Et moi, de noir, je suis pourvue
Un sommeil éternel t’a gagné
Et moi, le dieu du ciel m’a épargnée
Triste, je suis si triste…
Bien trop triste pour pleurer
J’aimerais pourtant verser des larmes pour m’y noyer
Je suis tellement triste
Alors que tes vers à toi te dévorent
Mes vers à moi, consument peu à peu mon cœur
Lentement, j’irai rejoindre la poussière de ton corps
Lentement, dans quelques heures
Je serai à tes cotés
Dans l’autre Humanité…
Isz

La Nuit


La nuit, je me lève en criant
La nuit, je me lève en pleurant
Non parce que tu n’es pas là
Mais parce que tu es trop présent
Ton corps se colle à moi, à ma peau
Tes mains me frôlent, touchent mon dos
Ton odeur, celle que je devais sentir et aimée
Cette odeur même qui à chaque nuit m’a écoeurée
Maintenant ça y est, tu arrives, titubant dans l’escalier
Encore une nuit où je ne devrai pas crier
Encore une nuit où mes prières ne seront pas exhaussées
Ça y est encore, je te sens, tu es tout près
Non cette nuit je ne me laisserai pas faire
Arrête! Non ne me dis pas de me taire
Cette nuit, tu n’iras pas
Cette nuit, tu ne le feras pas
Tu n’as pas le droit
Regarde-moi et vois qui je suis…
Je suis ta fille, le produit de la vie
À chaque nuit, tu me violes et le lendemain tu nies…

Isz

Lettre à mon Frère


À chaque jour, je pense à toi
Et je me demande toujours, pourquoi tu as fait ça
Pourtant le ciel, ce jour là était bleu
Mais le lendemain, à l’aube, il était maussade et pluvieux
Je ne sais comment cela a put ce produire
Je ne sais non plus si tu aurais pu y survivre
Ton dernier souffle nous à échappé
Perdu dans la braise de ton corps enflammé
Il y a tellement de rumeurs et d’histoires
Sans vraiment savoir laquelle il nous faut croire
Même avec nos prières, tu es retourné poussière
Nous n’avons pu te dire au revoir
Tu étais déjà profondément ancré dans l’antre du noir
Pendant que l’impuissance nous rongeait les os
Les ténèbres enflammées te brûlaient la peau
Petits, nous nous croyons inaccessibles
Pourtant, trop jeune, tu as sombré dans l’abîme...

Isz

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